Les ours des pôles errent un peu partout hors de la banquise, tant celle-ci se rétrécit comme peau de chagrin. Certains oiseaux migrateurs migrent tardivement, se faisant parfois surprendre par une incursion de l’hiver en hiver. Pendant ce temps, des agités du bocal ont l’esprit qui s’échauffe, pour ne pas dire qui surchauffe. Bref, les foldingos n’hibernent plus…
Le foldingo n’est pas une espèce de chien sauvage d’Australie, rendu fou par l’antipodisme ; non, le foldingo vit partout sur terre et s’est parfaitement adapté à tous les climats. Grave pourri de l’intérieur, comme dirait mon fils. C’est probablement pour cela que le foldingo ne se montre pas, ne s’expose pas ; probablement par souci de ne pas contaminer… C’est un « courageux » dans l’âme, et c’est ce qui le pousse à insulter, à fieller sans se faire de bile sûr, ô truie, celles et ceux qu’il ou elle jalouse maladivement. Une maladie qui siphonne tout le bon sens du bocal !
Ne reste plus que la lie et ses nombreuses ratures…
Avec un peu de retard, joyeux Noël à tous 🎄🎄🎄