Voler de ses propres ailes n’est pas chose aisée. Qu’écrire, quand les mots ne viennent pas ? Mais où est donc passé l’inspiration ? Je dois dire qu’arrêter le blogue m’a déjà traversé l’esprit, alors que je viens juste de commencer. Peut-être, suis-je mieux à ma place de commentateur ? J’avoue que c’est plus facile ; le sujet est fourni, libre à soi de commenter, ou pas. Il suffit juste de s’imprégner du texte et de se laisser transporter par la magie des mots. J’ai beaucoup pratiqué cet exercice chez Célestine. C'est même chez elle que j'ai pris mon envol.
Voilà, ça y est, tout doucement, un texte commence à prendre forme…
C’est donc cela, le syndrome de la page blanche ? L’espace d’un instant, j’ai eu des sueurs froides. J’ai bien cru que j’étais atteint de leucosélophobie. Je suis rassuré, c’est beaucoup moins grave.